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Cap21 LRC Toulouse

dans la presse

Elisabeth Belaubre, Rassemblement citoyen

20 Mars 2014, 08:07am

Publié par La Dépêche du Midi

Elisabeth Belaubre, Rassemblement citoyen

1. LES TRANSPORTS.

Le budget transports n’est pas placé dans les transports. Nous avons une alternative innovatrice : créer des microbus qui sillonneront les quartiers. Plus besoin de refaire les trottoirs comme pour les Bus à haut niveau de service (BHNS). C’est un vrai maillage de petits bus de neuf à seize places que l’on peut réaliser ainsi que des radiales entre le centre et la périphérie. Cette innovation serait d’une efficacité totale. (…) Je persiste : les transports, ce ne sont pas les travaux publics. Ce n’est pas en défonçant les routes et refaisant les trottoirs qu’on résout le problème. À la place d’une ligne de BHNS, on peut créer de multiples lignes de microbus. Et cela crée des emplois.

 

2. LA SECURITE.

La violence est en lien avec le mal-être de la société. L’alternance droite et gauche a invariablement conduit à l’augmentation du chômage. Et quand une petite liste se présente, on ne la prend pas au sérieux. Or, nous avons tout un programme orienté vers l’emploi dans la lignée des «solutions locales pour un désordre global». Cela fait des dizaines d’années que les partis traditionnels sont inefficaces. En rendant à chaque quartier une vie de quartier, en lui donnant un maire de quartier, en lui donnant des agents, en remettant de l’humain, on réglerait beaucoup de problèmes.

 

3.LE LOGEMENT.

Il existe de nombreux logements vacants que les privés ne veulent pas louer. Nous proposons de créer l’agence municipale de la location solidaire et sans risque. Il s’agit d’accompagner les propriétaires frileux. En contrepartie d’une location à petit prix, l’agence verse les loyers. Cela existe à Paris. (…) Je souhaite donner des jardins partagés sur des emplacements inutilisés aux Toulousains.

La Dépêche du Midi

 

Source :

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/20/1843979-elisabeth-belaubre-rassemblement-citoyen.html

 

 

 

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Coline Serreau à Avignon : "C'est un film sur le rapport à la règle"

19 Mars 2014, 05:19am

Publié par Fabien Bonnieux

Avec "Tout est permis", Coline Serreau a voulu réaliser "une comédie humaine, noire et drôle en même temps." On y suit des automobolistes dans un stage de récupération des points.

Avec "Tout est permis", Coline Serreau a voulu réaliser "une comédie humaine, noire et drôle en même temps." On y suit des automobolistes dans un stage de récupération des points.

Engagée. Ecolo. Drômoise. Trois mots qui qualifient la réalisatrice Coline Serreau, à qui on doit "Trois hommes et un couffin" (1985), "La crise" (1992) ou "Chaos" (2001). Mardi soir, dans le cadre des 4e Rencontres cinématographiques du Sud, elle présentait à Utopia son formidable documentaire "Tout est permis", qui sort au cinéma le 9 avril.

"Tout est permis" est autant un film sur le permis de conduire que sur la mauvaise foi, non ?
Coline Serreau : Si j'avais fait une fiction, on m'aurait dit : "tu exagères!". Mais là, j'ai filmé 172 heures dans des vrais stages de récupération des points pour le permis de conduire à travers la France, de Marseille à la Bretagne. On entend les gens dire des choses incroyables pour expliquer leurs infractions sur la route mais je n'ai pas voulu les juger. J'ai moi-même fait un stage il y a 8 ans parce que je roulais trop vite... Mon idée, c'était de faire un film sur notre rapport à la règle, comment on vit ensemble dans un espace collectif. Notre époque est celle de l'individualisme frénétique, et la compétitivité est souvent préférée à la coopération. J'ai voulu aussi rompre avec les clichés des films de bobos parisiens, où les flics sont obligatoirement méchants.

Ce film met chacun face à sa responsabilité sur la route. Mais il aurait plus de chances d'être vu massivement à la télé...
C.S. :...Mais je suis bien d'accord avec vous ! Pourquoi je le sors au cinéma ? Parce qu'aucune télé n'en a voulu, ni France Télévision, ni Arte ! Le lobby des constructeurs automobiles dans notre pays est très présent et je me dis que la salle de cinéma reste aujourd'hui un vrai espace de liberté. Il faut vraiment que les gens s'emparent de ce film, sur Internet ou en DVD.

Vous présentez votre film au public d'Utopia. Il y a une dizaine d'années, vous aviez tourné votre film "18 ans après" à Avignon (musée Calvet, gare-centre...). Quel souvenir en gardez-vous ?
C.S. : Les personnages partaient en vacances dans le midi, Avignon s'y prêtait. C'est très beau, très agréable. Et c'est en plus une ville où j'ai vécu des moments très forts, en tant qu'actrice, au Festival d'Avignon, sous la direction de Beno Besson : en 1976 dans "Comme il vous plaira" et en 1978 dans "Le Cercle de craie caucasien" de Brecht.

Vous n'avez plus tourné de fictions de cinéma depuis quasi 10 ans ("Saint-Jacques la mecque"). Y a-t-il un projet en ce sens ?
C.S. : Chaque projet est long à monter, même un documentaire, près de trois ans à chaque fois. Oui, j'ai une comédie en préparation pour le cinéma mais c'est trop tôt pour en parler. Par contre, en avril, je commence le tournage d'un téléfilm pour France 3, "Madame le maire". C'est l'histoire d'une femme d'extrême droite, interprétée par Isabelle Nanty, qui devient maire de Vaison-la-romaine. Elle est en opposition avec sa fille, interprétée par Sarah Biasini (la fille de Romy Schneider, ndlr). Si vous saviez comme on est bien accueilli à Vaison. C'est un bonheur de savoir qu'on va y rester un mois et demi.

Le Sud, c'est vraiment un élément constitutif fort de votre personnalité ?
C.S. : C'est vrai, j'ai grandi à Dieulefit (Drôme). C'est là-bas, enfant, que j'ai appris le rapport à la nature, à la résistance, à la justice. J'ai passé mon enfance juchée sur les épaules de femmes géantes, celles de l'école de Beauvallon. J'ai aussi dans ma famille des racines cévenoles, ce qui explique mon caractère (rires).

Dimanche, c'est le 1er tour des municipales. L'écologiste de toujours que vous êtes a t-il le coeur à gauche ?
C.S. : Je ne dis pas pour qui je vote. On peut être de droite et faire des trucs bien, être de gauche et faire des horreurs. Moi, je soutiens des personnes, Elisabeth Belaubre à Toulouse, qui est une grande dame et pourrait transformer Toulouse en ville bio, et Michèle Rivasi à Valence, qui a fondé la Criirad (la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité).

 

Recueilli par Fabien Bonnieux

 

Source : La Provence

http://www.laprovence.com/article/loisirs/2796558/coline-serreau-cest-un-film-sur-le-rapport-a-la-regle.html

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A Toulouse, une campagne en ville

17 Mars 2014, 08:10am

Publié par Dominique Delpiroux

Réunion pour les militants de la liste d'Élisabeth Belaubre, à Toulouse.

Réunion pour les militants de la liste d'Élisabeth Belaubre, à Toulouse.

«Bonjour ! ça concerne les transports !» La jeune femme prend le papier et se plonge dans la lecture du tract avant de s’enfoncer dans la bouche du métro. Il est 18 heures et il fait encore bon du côté de la place des Carmes à Toulouse où les «Jeunes avec Jean-Luc Moudenc» ont décidé de mener une action.

À quelques jours du premier tour, les écuries mobilisent leurs troupes pour le forcing de la dernière ligne droite. Et elles sont sur le terrain… «Aujourd’hui», explique Yoann, qui est le responsable des «Jeunes avec Jean-Luc Moudenc», «nous distribuons des tracts sur la thématique des transports. Nous avons aussi préparé des tracts spécifiques pour chaque quartier, que nous allons proposer pour en discuter avec la population.»

Yoann était déjà le responsable des Jeunes Populaires (le mouvement des jeunes UMP), et c’est tout naturellement qu’il a suivi le candidat de son parti, Jean-Luc Moudenc. Depuis deux mois, dès qu’il quitte son travail de juriste à Websourd, il consacre tous ses loisirs à battre la campagne. «Mais, il y a des personnes qui viennent d’horizons différents, de la jeune chambre économique, de l’UDI, du MoDem, de l’UNI…»

À ses côtés, Valentin, 18 ans, étudiant en économie : «Le plus sympa, ce sont les rencontres avec les gens. L’accueil est plutôt favorable, plutôt chaleureux.»

Valentin réalise aussi des vidéos qu’il poste sur les réseaux sociaux, Twitter, Facebook… Étudiant en Sciences Po et École de Commerce, Elliott, 20 ans, explique qu’il milite «pour des valeurs, pour l’idée qu’on se fait de Toulouse…»

«Quand on se promène avec Jean-Luc Moudenc, il y a beaucoup de gens qui pensent qu’il est le maire !», raconte Valentin. «Alors il répond ‘’Non, je suis l’ancien maire…. et le futur maire !’’»

Photo, BD, Twitter

Le maire actuel, c’est Pierre Cohen, PS, et il peut lui aussi compter sur des troupes jeunes et fraîches pour appuyer sa candidature. Ceux-ci se sont d’ailleurs rassemblés l’autre soir place du Peyrou, une place qui autrefois était plutôt d’ailleurs le lieu de ralliement des étudiants de droite : les temps changent. Là, Pierre Cohen, accompagné d’un de ses lieutenants, François Briançon, est accueilli à La Fabrique, par les jeunes militants.

«Ce soir, nous allons lui présenter des œuvres qui ont été réalisées par des jeunes artistes toulousains, et qui sont exposées ici : photo, bande dessinée, peinture, vidéo…», explique Grégoire, jeune militant socialiste. «Ces œuvres illustrent des parties du programme de Pierre Cohen qui ont été réalisées, c’est une sorte d’hommage à son action de maire.» Grégoire passe pas mal de temps lui aussi dans cette campagne : «On distribue des tracts, mais on tente également d’instaurer un dialogue, on parle du bilan de l’action du maire. Et puis nous assurons une présence massive sur Facebook et Twitter.» «Beaucoup de terrain !», confirme Stéphane Bonzom, secrétaire général des jeunes socialistes, étudiant en Droit. «On va sur les marchés pour discuter, recueillir les avis…»

Des moyens réduits

Pierre Cohen ou Jean-Luc Moudenc, les deux poids-lourds toulousains, peuvent compter sur des centaines de militants. Pour Élisabeth Belaubre, qui mène la liste «Rassemblement citoyen», avec le soutien de la députée européenne Corinne Lepage, le nombre est beaucoup plus restreint, les moyens aussi, mais la ferveur est bel et bien là ! Dans son local de la rue Palaprat, ce soir-là, c’est une réunion stratégique. Une trentaine de personnes, des plannings, des tâches que l’on se répartit… Tout le monde, colistiers compris, met la main à la pâte, comme Jean-Félix Honorine, président de Forces citoyennes. «Je laisse mes enfants à l’école, et après, je vais distribuer les tracts !», indique ce papa.

«Un petit point sur l’affichage», signale Élisabeth Belaubre. Elle énumère : «Kattia, c’est fait ! Pierre, c’est fait ! Camille et Cécile, c’est fait !… Qui a besoin de renfort ?»

«Ce qui nous a séduits, c’est le côté atypique d’Élisabeth», souligne Vincent. «On n’a pas l’impression de parler à une politique : elle est simple, directe, pragmatique… Les gens qui écoutent son discours sont tout de suite intéressés.»

Pragmatique ? Ni métro, ni tram, l’équipe propose une flotte de minibus adaptés aux besoins de la ville.

Jacques, qui est l’homme de la communication, jongle avec les réseaux sociaux. Il est ravi de cette aventure bon enfant, pleine de diversités revendiquées.

«Et tout ça avec un budget zéro !», dit-il.

Dominique Delpiroux

 

Source : La Dépêche

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/17/1841219-a-toulouse-une-campagne-en-ville.html

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Corinne Lepage : «Des citoyens qui s'emparent de la politique»

11 Mars 2014, 08:40am

Publié par La Dépêche

De g. à d. : Jean-Félix Honorine, Marie-Jeanne Husset, tête de liste Sud-ouest pour les élections européennes, Elisabeth Belaubre, Corinne Lepage et Nejia Ben Abdelhafidh.

De g. à d. : Jean-Félix Honorine, Marie-Jeanne Husset, tête de liste Sud-ouest pour les élections européennes, Elisabeth Belaubre, Corinne Lepage et Nejia Ben Abdelhafidh.

Députée européenne et présidente du Rassemblement citoyen Corinne Lepage a participé hier, à Toulouse, salle du Sénéchal, au meeting de campagne d’Elisabeth Belaubre. Entretien.

Qu’est-ce qui différencie le Rassemblement citoyen d’Europe écologie les Verts ?

Notre perspective est celle de citoyens qui s’emparent de la politique et non l’inverse. Et notre programme est une synthèse originale de ce qu’on peut trouver ailleurs : l’écologie, les principes républicains, l’attachement à la lutte contre la corruption et la solidarité. Nous avons la volonté d’une dynamique économique. Nous ne rejetons pas l’entreprise.

Quel message porte le mouvement à Toulouse ?

Celui d’un rassemblement très large de personnes. Quand on n’est pas un politique professionnel, il faut du courage pour entrer dans l’arène avec un programme clair et simple, sans optique partisane. Mais cela est de nature à donner confiance. Et nous avons besoin de confiance en nous, dans nos institutions, dans notre avenir.

Ce message, vu le nombre de listes et les sondages, peut-il être entendu ?

Ce n’est pas une démarche unique en France. Le mouvement compte 40 listes pour six mois d’existence. Cette voie peut parler à beaucoup de gens.

Elisabeth Belaubre : Aujourd’hui, plus de la moitié de la population ne prévoit pas de voter. On s’adresse à plus de 100 000 Toulousains, donc ça vaut le coup.

Recueillis par J.-N. G

 

Source : http://www.ladepeche.fr/images/header/logo.png

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/11/1836821-corinne-lepage-des-citoyens-qui-s-emparent-de-la-politique.html

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«Petits candidats» à Toulouse : pourquoi ils y croient

11 Mars 2014, 07:56am

Publié par La Dépêche

Mesurés à moins de 5 % d’intentions de vote par notre sondage, six des dix candidats toulousains ne sont sûrs ni d’être remboursés de leur frais de campagne, et encore moins d’entrer au Capitole. Tous promettent pourtant d’aller jusqu’au bout.

Mais qu’est ce qui fait encore courir les candidats aux élections municipales de Toulouse auxquels le sondage Ipsos pour «La Dépêche du Midi», «France 3 Midi-Pyrénées» et «France Bleu Toulouse», attribue moins de 5 % d’intentions de vote à un mois du scrutin ? Placés sous un seuil d’étiage qui les relègue au rang de «petits candidats», ils ne sont sûrs de n’être ni remboursés de leurs frais de campagne, et encore moins d’entrer par la petite porte de l’opposition au conseil municipal du Capitole. Leur réservoir électoral sonne creux ? Tous iront pourtant, coûte que coûte, au combat politique.

Jean-Christophe Sellin (FDG) : «Je ne suis pas un petit candidat !». Il a le couteau entre les dents et promet d’utiliser l’arme nucléaire du CSA contre le prochain institut de sondage ou média qui ne respectera pas l’intitulé de sa liste. Car Jean-Christophe Sellin en est convaincu : si Ipsos l’a mesuré à seulement 4 % les 21 et 22 février derniers, c’est parce qu’il a été présenté aux sondés comme le candidat du Parti de gauche. «Or, nous sommes officiellement déclarés en préfecture comme la liste A Toulouse, place au Peuple, Front de Gauche. Et là, ça change tout», considère le mélenchoniste, en rappelant que des précédents sondages respectueux du label FDG avaient évalué sa performance électorale à 10 % et 7 %. «Souvenez-vous que notre organisation a fait descendre plus de 50 000 personnes dans la rue, que Mélenchon a obtenu plus de 15 % à la Présidentielle à Toulouse», ajoute le candidat qui se place plus volontiers dans le camp des poids lourds : «Sérieusement, une liste estampillée FDG, c’est autre chose que de Veyrac ou Belaubre», soupire Sellin, en concluant que «4 %, ça ne correspond à rien. Évidemment, nous serons au-dessus de 5 %».

Christine de Veyrac (SE) : «On ne se bat pas pour des places ou de l’argent». Mesurée à 4 % par Ipsos, l’eurodéputée qui fait désormais campagne en dehors des partis a gagné 1 point d’intentions de vote par rapport au précédent sondage. Mais sa véritable influence politique, Christine de Veyrac la situe plus volontiers sur la qualité du débat électoral. «Nous sommes entrés en campagne sous le double signe de l’ambition et de la proximité, considérant que depuis trop longtemps, Toulouse fait du surplace. Sur bien des sujets, nous avons été aux avant-postes et contraints les autres candidats à venir sur notre terrain. C’est déjà une victoire sur ceux qui, par ailleurs, privilégient l’insulte et l’invective au dialogue. Si le score de 4 % se confirme, nous n’aurons ni élus ni remboursement de nos frais électoraux. Et alors ? C’est un risque que nous prenons en conscience parce que nous faisons de la politique au sens noble du terme. Les électeurs ont le choix : voter pour nous ou pour des étiquettes».

Jean-Pierre Plancade (SE) : «Nous serons au second tour». «Si les sondages faisaient une élection, alors je n’aurais pas consacré ma vie à la politique», déclare, philosophe, le sénateur de Haute-Garonne qui disputera les élections municipales à Toulouse en candidat indépendant. Ipsos lui prête un score de 2 % ? «Je ne sais pas comment travaillent les instituts, mais notre propre outil de mesure nous situe plutôt à 7 % aujourd’hui. Et comme dans toute élection, les derniers quinze jours seront déterminants. Avec un PS auquel les électeurs ont retiré leur confiance et une UMP embourbée dans les affaires, nous franchirons mécaniquement le seuil des 10 % et nous serons les arbitres du second tour», pronostique Plancade. Et s’il se trompe ? «Je n’aurais aucun regret. J’aime cette ville et ç’aurait été une grande frustration de ne pas aller au combat électoral».

Ahmed Chouki (NPA) : «Zéro regret». A 2 % d’intentions de vote, le candidat du NPA n’est pas déçu : «C’est autant que Plancade dont le budget de campagne est cinq fois supérieur au nôtre, et pas beaucoup moins bien que Sellin», constate Ahmed Chouki. «Nous avons réussi à constituer une liste, la plus jeune à Toulouse, à imposer les quartiers comme une thématique de campagne transversale. Si nous perdons de l’argent, ce n’est pas grave. Nous n’aurons pas perdu notre temps et nous nous serons fait entendre. Je pense cependant que dans l’intérêt du débat démocratique, les petits candidats devraient bénéficier d’un dispositif de soutien financier spécifique. Parlons-en aux parlementaires qui dans leur grande majorité défendent le principe du vote utile», ironise Chouki.

Sandra Torremocha (LO) : «Minoritaires, et alors ?». La candidate de Lutte Ouvrière ne se fait pas d’illusion. «Nous savons que nous sommes minoritaires et que nous ne serons pas élus. Mais dans un contexte de crise politique où l’électorat ouvrier ne sera pas épargné par l’abstention, il importe qu’à travers nous, ceux qui veulent exprimer leur révolte ou leur colère soient représentés».

Elisabeth Belaubre (RC) : «En campagne pour gagner». La candidate du Rassemblement Citoyen de Corinne Lepage n’a jamais fait mystère des raisons qui l’ont conduite à se présenter. Troisième adjointe de Pierre Cohen, son mandat a comme un goût d’inachevé. Elle qui aurait voulu faire beaucoup plus prend donc son destin politique en main. Et ce n’est pas le score de 1 % évalué pour elle par Ipsos qui entamera sa détermination : elle est en campagne pour la gagne.

 

Source : http://www.ladepeche.fr/images/header/logo.png

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/10/1835960-petits-candidats-a-toulouse-pourquoi-ils-y-croient.html

Elisabeth Belaubre (photo prise en marge de la Conférence de Presse du 6 mars 2014)

Elisabeth Belaubre (photo prise en marge de la Conférence de Presse du 6 mars 2014)

Cet article a inspiré notre commentaire suivant :

Bonjour,

La Dépêche a raison.
Je le confirme ici, je suis une petite candidate.
En effet, en m'étirant bien le matin, je mesure 1,52m :)
Mais je n'ai pas les idées courtes.
Je suis fière de présenter avec mon équipe de Citoyennes et de Citoyens, tous issus de la société civile, 45 projets concrets, 100% possibles, 100% nécessaires et créateurs d'emplois.
http://le.rassemblement.citoyen.toulouse.midi-pyrenees.over-blog.com/2014/01/le-rassemblement-citoyen-municipales-2014-toulouse.html#Pro

De quoi redonner espoir à nos concitoyens qui se trouvent face à notre République en pleine déliquescence ; une vraie République bananière comme l'a indiqué Corinne Lepage venue le 10 mars soutenir notre liste.

Notre démarche pragmatique, loin de toute idéologie de droite ou de gauche, consiste à mettre en place le plus rapidement possible ce qui fonctionne par ailleurs en l'adaptant aux conditions toulousaines ; tout simplement pour mieux vivre à Toulouse.
Ceci devrait rassembler toutes les Toulousaines, tous les Toulousains et tous les Usagers de La Ville Rose (de jour comme de nuit).

Ils exprimeront d'ailleurs concrétement leur confiance retrouvée grâce à une politique fondée sur une base solide le 23 mars à la grande surprise des maîtres es-sondages bidonnés de la Capitale qui tentent d'entretenir un système agonisant.
Construisons nous-mêmes Demain !

Cordialement
Elisabeth Belaubre

 

P. S. :

 

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