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Cap21 LRC Toulouse

Vélo : les candidats à la mairie de Toulouse au banc d'essai

22 Février 2014, 08:41am

Publié par C. Dm.

La piste cyclable du quai Lombard est entrée en service au printemps 2013

La piste cyclable du quai Lombard est entrée en service au printemps 2013

L’association Deux pieds Deux roues reçoit les candidats au Capitole cet après-midi, lors d’une réunion publique. Voici les premiers engagements des candidats.

Dans la course au Capitole, les transports font l’objet de nombreuses propositions : deuxième rocade, troisième ligne de métro, ouverture du métro jusqu’à trois heures du matin… Le vélo, lui, arrive après. «La campagne est assez décevante jusqu’à présent, déplore Sébastien Bosvieux, président de l’association Deux pieds Deux roues (ex-association Vélo). Il y a beaucoup de bonnes intentions, mais peu d’engagements fermes.»

«Campagne décevante»

Suite à la diffusion de son document de propositions fin 2013, l’association a reçu trois réponses. Le candidat écologiste Antoine Maurice s’est logiquement montré le plus volontaire, en «étant d’accord avec presque tout» ce que propose l’association. Il s’engage notamment à doubler le budget alloué aux modes actifs, et à désigner un vice-président en charge des modes actifs à Toulouse Métropole. «La réponse de Jean-Luc Moudenc (UMP) a eu le mérite de la franchise, raconte M. Bosvieux. Pour lui, le vélo a été un enjeu de la campagne précédente. Il a été bien développé, mais il ne faut pas le sacraliser, a-t-il dit». L’ancien maire indique tout de même sur son site internet qu’il veut développer un réseau express vélo, créer des parkings, et de nouvelles pistes cyclables. Pour le sortant Pierre Cohen (PS), il s’agit de poursuivre la politique engagée depuis 2008, avec 200 km de pistes cyclables en plus d’ici 2020 («c’est très ambitieux», selon M. Bosvieux) et «faciliter le stationnement vélo».

Jean-Christophe Sellin (Front de gauche) est resté «assez vague», revendiquant de manière globale la «diminution de la place de la voiture». Il a tout de même proposé de «pouvoir charger des vélos à l’arrière des bus ou du tramway» ou le passage en régie publique du service VéloToulouse.

Élisabeth Belaubre propose un «service de location de vélos longue durée pour les étudiants et jeunes travailleurs». Pour les autres, rien ou presque jusqu’ici. La réunion publique de cet après-midi sera l’occasion de mettre le vélo au centre de toutes les préoccupations.

Les propositions «chocs» des cyclistes

L’association Vélo, forte de ses 900 adhérents, veut peser de tout son poids dans les élections municipales, le mois prochain. Elle a remis à tous les candidats son carnet de propositions, disponible sur son site internet. En voici quelques-unes. Suppression totale du trafic de transit dans l’hypercentre, avec en particulier la fermeture du Pont Neuf aux véhicules motorisés (hors bus et urgences) et le réaménagement de l’axe rue de Metz- rue de la République. Réaménagement du canal du Midi en voie verte sur les deux rives. Le canal du Midi doit être réaménagé en voie verte sans interruption ni obstacles ou chicanes, en réservant une de ses rives aux modes actifs. Réserver le parking du Capitole aux riverains. Le parking du Capitole doit être rapidement fermé à la clientèle générale pour être réservé aux riverains, afin de finaliser la piétonnisation du Capitole.

Couverture de la rocade entre la route de Narbonne et le canal du Midi. Cette section pourrait être facilement couverte, à l’image de ce qui se fait actuellement sur le périphérique parisien. Cette section couverte pourrait être aménagée en espaces verts parcourus par une voie verte. Limitation à 30 km/h de l’ensemble de l’agglomération, sauf voies rapides et certaines pénétrantes. 30 km/h doit devenir la vitesse par défaut dans notre agglomération, et des vitesses supérieures ne doivent être autorisées que là où c’est vraiment nécessaire.

 

Source : La Dépêche.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/22/1824638-velo-candidats-mairie-toulouse-banc-essai.html

 

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Quand les légumes rient

21 Février 2014, 14:52pm

Publié par Elisabeth Belaubre

Quand les légumes rient

Dès le début du mandat, en 2008, je mets en route mes engagements de campagne, dont un qui me tient particulièrement à cœur : Introduire des aliments Bio dans les cantines scolaires de Toulouse.

Les légumes sont contre!

Les Services techniques comprennent bien ma commande politique et se mettent au travail : Services de la Cuisine centrale, Service de la Commande publique, Service juridique. Notre base de travail, c’est le Grenelle de l’Environnement (2007), qui préconise 20% de bio d’ici 2012, si possible[1]

Nous décidons d’abord de revoir nos pratiques d’achat : Dans nos commandes, nous formons des lots plus petits, accessibles à des petits fournisseurs bio locaux.

En même temps, nous abordons deux problèmes :

1- Dans notre cuisine centrale, on travaille en liaison froide : les aliments préparés pour les enfants sont stockés au froid, en barquettes plastiques jetables, avant d’être portés dans les écoles où ils sont réchauffés (3 à 5 jours après avoir été cuisinés). Ce sont des barquettes pour 5 portions. Il y a deux ou trois plats par repas, donc deux ou trois barquettes pour 5 enfants. Soit 12 000 à 20 000 barquettes plastiques par jour qui sont jetées et incinérées. C’est une des nombreuses aberrations économiques et écologiques liées à ces cuisines centrales que presque tous les Maires de France ont achetées depuis trente ans. Comment réduire ce gaspillage polluant ? Il faut préparer la transition vers des cuisines plus petites, proches des écoles, pour passer en liaison chaude : on cuisine et on livre de suite, ou mieux la cuisine est sur place, une dans chaque école. C’est plus cher ? NON. Je l’écris en majuscules parce qu’il faut dénoncer cette idée reçue : le prix du repas est plus élevé avec une grosse cuisine centrale qu’avec plusieurs petites, même en comptant le personnel en plus. Or le personnel, c’est des emplois. C’est bien ce qu’on veut, non ? [2]

2- La cuisine centrale ne peut pas recevoir le moindre kilo de légumes frais, car elle n’est pas équipée pour stocker, éplucher, laver, râper. Donc on achète soit des conserves ou des surgelés, soit des légumes déjà prêts à être cuisinés, qui viennent de légumeries industrielles, donc de loin, en sachets, qui coûtent trop cher, dont on ne connaît pas les producteurs…

Pour développer l’agriculture locale (biologique toujours !) et cuisiner des produits frais, il faut donc une légumerie.

L’étude de la Légumerie

A côté de la cuisine centrale, il y a un espace libre pour construire une légumerie. L’étude implique le Service de la Cuisine Centrale, celui de la Cohésion sociale et celui du Développement durable. Elle dure un an et demi. Comme le Maire ne s’intéresse pas au projet, il refuse le budget pour l’étude technique. Je décide donc de travailler avec l’ISTHIA (Institut Supérieur du Tourisme, de l’Hôtellerie et de la Restauration) : Les étudiants de Master, dirigés par leurs professeurs, planchent sur le projet grandeur nature, réel. Résultat : On peut approvisionner notre cuisine centrale avec 100% de légumes bio locaux, avec impulsion du maraîchage périurbain, avec une vingtaine d’emplois d’insertion (dont 11 emplois « handicapés ») dans la légumerie, tout cela à coût constant.

Obligé de tenir compte de mes résultats, le Maire exige alors l’expertise d’un bureau d’étude qui recommence tout (merci pour le temps perdu) et conclut, en prenant les données les plus pessimistes, à une augmentation du coût des denrées de 450 000 euros. Ça paraît beaucoup. Rapporté au budget denrées de 10 millions d’euros, c’est 4,5 %. Et dans le calcul du coût-repas, qui intègre l’ensemble du fonctionnement de la Cuisine centrale, c’est moins de 1% ! Je vous rappelle que j’ai introduit 32% de bio dans les cantines sans aucune augmentation de prix-repas. Je sais tenir un budget et je ne crois pas à ces 4,5 % (moins de 1% du total) qui sont une estimation au pire. Mais quand bien même : Vous en connaissez beaucoup, vous, des budgets qui auraient augmenté de moins de 1% en 5 ans, en améliorant la qualité ? J’ai fait + 0% avec 32% de Bio, j’aurais fait environ + 1% avec 100% de bio (légumes + viande[3]). Les emplois en plus. Qui dit mieux ?

Arbitrage du Maire : Projet refusé.

Comme les élections servent à choisir les projets, je vous propose la comparaison suivante : Au moment où la Légumerie est refusée, le budget du festival La Novela est de 2 millions d’euros (pour une seule année !). À mon avis c’est 1,5 millions de trop pour ce que c’est. Non que je conteste la promotion de la culture scientifique et technique, mais ici comme pour tout, on doit payer à la mesure de ce qu’on a. Or dans la Novela, on n’en a pas tant que ça pour notre argent, ni comme manifestations, ni comme retombées.

En revanche, la cuisine centrale, c’est la nourriture quotidienne de 30 000 enfants, vos enfants…

Conclusion : Pendant six ans, le Maire décide. Mais aujourd’hui, au moment des élections, c’est à vous de choisir.

Et le 23 mars, vous votez…

ddddddddddddddddddddddddddddddd

Notes :
[1] À Toulouse, cet objectif a été atteint en 2010, et on est aujourd’hui à plus de 32%. Et le coût-repas est le même aujourd’hui qu’en 2009 !

[2] En tous cas, c’est ce que je veux, moi : Mais la conseillère municipale PRG Maryse Jardin-Ladan a fait fermer progressivement toutes les cuisines des crèches et haltes-garderies de Toulouse, pour confier la restauration à une société privée industrielle : Ansamble (Lobbying réussi ?). Là, bien sûr, on ne parle plus de légumes frais, d’éducation au goût etc. Fini. Et ça fait moins de travail pour les Services municipaux (et pour les élus, j’aurais dû y penser !…). Quant à l’emploi local, fini aussi. Mais ce n’est pas la priorité, n’est-ce-pas ? C’est ça l’écologie, le bien-vivre et l’emploi de Pierre Cohen et de ses colistiers d’aujourd’hui ? Si vous me soutenez par vos votes, je remettrai des cuisines et leur personnel sur place, dans toutes ces crèches et Haltes-garderies, pour faire une nourriture saine et savoureuse.

[3] Pour la viande, j’ai développé un projet inspiré de l’expérience réussie de Lons-le-Saulnier (Jura), permettant l’approvisionnement en 100% boeuf et veau Bio local en circuit court, pour moins de 0,5% d’augmentation du prix-repas. Projet bloqué par le Maire…

 

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Rencontre citoyenne du 20 février 2014

20 Février 2014, 23:11pm

Publié par Le RC-TMP

D'habitude, lors d'une Rencontre Citoyenne, nous accueillons quelques nouveaux amis qui se joignent à nous à titre individuel.

Or, ce jeudi 20 février 2014, ce fut légèrement différent, car en plus d'individus libres et égaux en droit, c'est un groupe déjà constitué qui est venu se joindre à nous pour faire équipe commune lors des #Municipales 2014 de #Toulouse.

D'un commun accord, il a été décidé que la liste commune conserverait ses précédents attributs et serait complétée conjointement autant que faire se peut à parts égales.

Pour témoigner de cet évènement, vous trouverez ci-dessous quelques photos prises après les discussions qui furent intenses et chaleureuses.

Le partage du verre de l'amitié à la fin de la Rencontre Citoyenne
Le partage du verre de l'amitié à la fin de la Rencontre Citoyenne
Le partage du verre de l'amitié à la fin de la Rencontre Citoyenne
Le partage du verre de l'amitié à la fin de la Rencontre Citoyenne
Le partage du verre de l'amitié à la fin de la Rencontre Citoyenne

Le partage du verre de l'amitié à la fin de la Rencontre Citoyenne

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Municipales. Belaubre veut créer 10 000 jardins partagés à Toulouse

19 Février 2014, 18:33pm

Publié par David Saint-Sernin

Elisabeth Belaubre sur la place du Capitole à Toulouse

Elisabeth Belaubre sur la place du Capitole à Toulouse

par David Saint-Sernin

 

C’est une proposition qui à première vue peut paraître comme l’une des plus farfelues de la campagne des municipales à Toulouse…

En créant 10 000 jardins partagés ou familiaux comme elle le propose, la candidate du Rassemblement Citoyen, Élisabeth Belaubre, multiplierait en effet par plus de 10 leur nombre dans notre ville.

Pourtant, elle l’affirme haut et fort, cette proposition est parfaitement réalisable dans un laps de temps très serré.

« C’est quelque chose que l’on peut lancer dès le début du mandat car aujourd’hui, nous disposons déjà des terres suffisantes pour concrétiser ma proposition. En effet, la régie agricole de la Ville de Toulouse cultive en grandes céréales environ 300 hectares. À cela, il faut ajouter les 26 ha de vigne. Mais ce qui est moins connu, c’est que cette même régie possède aussi 100 hectares de terre dites en entretien (elles ne sont pas cultivées) qui pourraient être mise à disposition de projets de jardins. Ces terres disponibles sont de toutes petites parcelles disséminées dans toute la ville et qui pour cette raison sont difficilement exploitables par la régie », explique la candidate.

Élisabeth Belaubre sort alors sa calculette : « Si l’on prend comme base que 100 m2 est suffisant pour constituer un jardin partagé et qu’un hectare fait 10 000 m2 alors on a bien nos 10 000 jardins pour 100 ha ce qui prouve la faisabilité de ma proposition ».

Une proposition qu’elle estime correspondre « à une vraie demande et qui s’inscrit dans une logique internationale puisque cette pratique se développe partout dans le monde et à Toulouse aussi où des familles attendent parfois plusieurs années sur des listes avant d’obtenir un jardin. Vu ce constat, pourquoi serait-on obligé d’avancer à pas de fourmis comme cela se fait depuis des années?   ».

Une mesure qu’elle compte porter en étroite collaboration avec les habitants des quartiers qui sont à ses yeux « les meilleurs experts ».

Du « microbus » partout dans Toulouse

À cet infiniment grand qu’elle projette côté jardin, Élisabeth Belaubre en appelle à l’infiniment petit côté transport.

Mais petit ne veut pas dire sans ambition…

Pour elle, plus qu’un métro et ses dizaines de milliers de passagers transportés chaque jour, Toulouse a besoin d’un maillage dense et léger en infrastructure à la fois. C’est pour cette raison qu’elle mise sur le « microbus ».

« Aujourd’hui, malgré un budget important consacré aux transports en commun, ces derniers sont inefficaces à Toulouse.  Avec les « microbus », nous voulons former un maillage de transport en commun en toile d’araignée qui se greffe au maillage actuel du métro, tramway et BHNS. Ces véhicules qui pourraient transporter de 9 à 16 places environ circuleraient sur des lignes courtes, de 3 à 8 kilomètres dont les terminus constitueraient autant de points de jonction avec un transport structurant. Sur chaque ligne tourneraient 5 à 6 bus », explique-t-elle.

Les calculs d’Élisabeth Belaubre sont simples : selon ses chiffres, pour le prix de 4 lignes de BHNS, l’on peut créer 400 lignes de microbus qui permettront de rapprocher les Toulousains des transports en commun. Ce qui nécessiterait l’achat d’environ 2400 « microbus » adaptés au public handicapé.

« Cette idée n’existe pas ailleurs, elle est économique contrairement au BHNS qui casse toute la voirie où il passe et qui nécessite donc un investissement énorme. C’est une proposition créatrice d’emplois car il faut recruter des conducteurs de bus et bien adaptée aux usages des Toulousains », conclut la candidate qui va faire du « microbus » un grand axe de sa campagne.

 

Source : Voix du Midi

http://www.voixdumidi.fr/municipales-belaubre-veut-creer-10-000-jardins-partages-a-toulouse-14124.html

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Ferme ta boîte à camembert !

19 Février 2014, 15:19pm

Publié par Elisabeth Belaubre

Ferme ta boîte à camembert !
Ferme ta boîte à camembert !

 

 

Dans les cantines municipales, en 2008, on donne aux enfants du fromage industriel en portions individuelles, sous cellophane. Je propose qu'on le remplace peu à peu par du fromage à la coupe, bio et local (Tomme des Pyrénées, Rocamadour, Roquefort ...). Les retours des enfants, des parents et du personnel, sont très positifs, avec de nombreux commentaires enthousiastes.

Chaque année, j'élargis donc le marché des fromages à la coupe. En 2013, je souhaite franchir une étape supplémentaire :

1- Abandonner définitivement les portions de fromage industriel.

2- Chercher aussi des fromages de diverses régions, pour l'éducation au goût : Cantal, Comté, Camembert, Brie etc.

On travaillera directement avec les producteurs et coopératives bio (c'est la logique du circuit court, plus économique et plus sûr). Résultat : Aucun surcoût par rapport au fromage industriel en portions individuelles emballées. Et on comprend l'intérêt multiple : transports, emballages, traçabilité, santé, qualité gustative, sans oublier l'apprentissage du partage à table.

 

Mais, alors que nous sommes en plein dans l'organisation concrète de ces nouveaux marchés, le service de la Cuisine Centrale reçoit du Directeur Général Adjoint (DGA) du Service Éducation l'ordre d'arrêter tout et de revenir au fromage industriel en portions individuelles sous cellophane.

Le DGA représente la hiérarchie administrative. Mais moi, je représente l'autorité politique. Et c'est l'Administration qui obéit au Politique, pas l'inverse. Je convoque donc le DGA pour lui rappeler et expliquer ma « commande politique ». Il m'écoute avec un grand sourire et conclut que ça ne change rien à sa décision.

Je comprends qu'il a déjà l'appui du Maire, qui écoute les yeux fermés les chefs de service. Je rencontre Pierre Cohen pour lui expliquer qu'il commet une erreur qui va contre la mission éducatrice de l'école, contre le souci écologique et « durable », contre la sécurité alimentaire, autrement dit contre le progrès culturel, social, écologique, économique.

Rien n'y fait.

Pour justifier cette décision, on me dit que les personnels de service à la cantine se plaignent de devoir couper les fromages pour les partager aux enfants. C'est un effort qui pourrait causer des maladies professionnelles. Je demande donc à rencontrer ces personnels pour étudier la question avec eux (en moyenne chaque personne doit couper moins d'une dizaine de parts par jour , et ce ne sont pas des grosses tommes dures, mais du Brie, du Roquefort etc., et dans le cas des grosses Tommes, c'est pré-découpé en morceaux commodes...). Je n'ai jamais obtenu le compte rendu de la réunion où cette plainte aurait été formulée ! Ni le DGA, ni Mme Courade, l'élue responsable des Personnels, n'ont répondu à mes mails pour l'obtenir... Que penser ? Mais ce n'est pas tout : Les enfants ont donc cette année du fromage industriel. Et lors de ma dernière Commission Restauration avec les parents d'élèves (janvier 2014), ils me rapportent que les personnels regrettent les bons fromages, qu'ils déplorent le retour aux portions sous cellophane, qu'ils s'esquintent les doigts à les ouvrir car les enfants n'y arrivent pas parce que c'est difficile, comme chacun en a déjà fait l'expérience... (info confirmée par des représentants syndicaux FO rencontrés depuis). Alors, les maladies professionnelles pour couper du bon fromage, c'était du bluff pour me dire de fermer ma boîte à Camembert ? On rigole vraiment, à la Mairie, vous ne trouvez pas ? Mais l'intérêt des enfants Toulousains, il est où ?

 

Ferme ta boîte à camembert !

Conclusion : En 2014, les enfants mangent à nouveau 100% de fromage industriel sous cellophane dans les cantines municipales de Toulouse... C'est ce que vous voulez ? Non ? Alors le 23 mars, nous votons !

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